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Leçon : impression 3D

Niveau : STD2A

Cette séquence se situe en Terminale, en guise de pré-projet 75h. Cette séquence va partir de la même analyse que pour le cours en DNMADE, la différence est que le basculement va se concentrer sur la question de la netteté et de la question des formats de restitutions. Les objectifs sont : leur donner dans un premier temps un regard sur les modes de productions numériques avec le contexte d’impression 3D et dans un second temps leur donner une approche plus critique de ces modes de construction.

Titre : Formalisation rapide/formalisation longue

Problématique : Comment reconnaître les intentions derrière le formatage des fichiers/images en design ?

Ici, le musée n’est pas commanditaire du projet comme en DNMADE mais sert d’exemple, potentiellement de contexte ou le format et la netteté de médiation informent une pratique et permettent de se rendre compte que ce sont des objets construits.

Exemples de projets pour introduire des degrés de lecture sur la production avec l’impression 3D :

→ Morehshin Allahyari, Project Isis : impressions 3D de statues détruites par Daech à Palmyre, les objets ont été modélisés d’après des ressources diverses : scans précis mais aussi dessins et photos avec des degrés moins nets de lisibilité. → ici, on dans une logique de reconstitution par l’impression 3D.

→ Unfold Studio, « Hey social media judge » : impression 3D d’un buste de juge qui sert à héberger des données issues des réseaux sociaux et permet de créer une mise en scène de jugement avec un public. → Ici, l’impression 3D est comprise dans une logique de projet plus globale, ce n’est pas le projet en soi.

→ Unfold studio, « The digital Craftsman and his tools » : exposition semi-virtuelle sur la production d’objets en céramique.

→ Bold Studio, dessin et impression 3D d’une imprimante 3D.

→ Patrick jouin : chaise scannée en 3D → plutôt le scan 3D avec Polycam et la logique Backup Ukraine → ici, une dimension politique internationale, le scan 3D introduit une question d’un contexte de captation et ce ne sont pas des professionnels qui utilisent les outils.

Réflexion sur les critères d’évaluation :

→ question feedback immédiat sur les exercices de pratique « surfaciques » concernant le code

: animer un carré, créer un hyperlien, afficher une image à l’aide d’une structure html, effecteur les bons exports, bien nommer et structurer les fichiers.

→ ceci permet de leur donner une approche sur la « documentation de projet » pour le projet 75h qui aura lieu ensuite.

→ évaluer le travail de captation et de formatage : créer un objet en 3D à l’aide de polycam, meshroom ; bien réaliser les bons exports pour chaque format (.pdf, .ind, .obj, .html).

Ceci nous amène à une mise en commun ou chaque élève explique les formats utilisés et leur structure, et ensuite on revient sur la création de ces structures et leur pertinence selon leurs angles choisis pour le projet 75h et leur futurs contraintes de portfolios avec Parcoursup.

→ potentiel partenariat avec la CLEMI : conformer mes critères d’évaluation aux enjeux actuels de pédagogie liée aux médias numériques. → ici, fiche d’information sur la distinction entre INFORMATION/COMMUNICATION et pour eux de comprendre l’intention derrière une image et un format : le bon fichier pour l’impression, le bon médium pour le bon objet → va aiguiller leurs choix pour le portfolio, leur proposer de réaliser le légendage de leurs images.

Ce que je garde des fiches techniques de la CLEMI : ici, la question de « scanner, modéliser, imprimer en 3D ».

→ chaque étudiant réalise un ensemble de formalisations qui sont présentées à la classe : moi j’évalue le formalisme de chaque rendu, ensuite on demande à chaque étudiant de prendre une des formalisations et de la réaliser avec le prof. Sert de base pour le projet mais nécessite une séquence précédant ces manipulations pour avoir quelques compétences techniques.

« Dans le portfolio, c’est important de ne pas montrer que ce que je construit mais comment je regarde les choses, quel est mon univers et comment je traite sa mise en valeur ».

IL FAUT MONTRER LES TEMPS, DONC LES DIFFÉRENCES DANS LA LEÇON : JE COMMENCE SUR L’IMAGE NUM → QUELLE DIFFÉRENCE AVEC L’IMAGE IMPRIMÉE ?

ATTENTION, BIEN MONTRER QU’UN COURS NE PEUT PAS ETRE QU’UNE SUITE D’OPERATIONS, IL FAUT UNE CONTINUITE, UNE NARRATION ET ARRIVER A QUELQUE CHOSE DE PRODUIT.

On peut très bien partir de projets et maquettes précédentes et leur faire travailler et collecter de leurs anciens.

→ fonctionner sur des acquis : penser un système de croix, ca ne mérite pas de notes.

Ne pas oublier le format .jpg

Question de la spécialisation des outils pour aller vers le projet 75h -< choisir un outil de prédilection pour le projet 75h et bien montrer l’eccueuil du projet 75h. Il faut capter l’attention en prenant soin de l’audimat. → les enjeux sont des enjeux de communication de projet, d’image lisible (très plastique).

Ouvrir la boite noire : on ne va pas coder, tout ca n’a pas d’apparence automatique → bien choisir le mode d’expression qui me correspond sans être contraint sans savoir. Bien montrer que l’on part de leur pratique de la bidouille pour arriver à une logique de boite à outils qui va leur permettre dans les 75h de ne pas perdre du temps et d’aller à l’essentiel.

NE PAS OUBLIER DE M’EXTRAIRE DE MON DOMAINE. → réfléchir à des termes extérieurs au domaine. Exploiter des termes qui renvoient à des pratiques de la maquette ou de la conception en produit.

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